Taphrina alni(Berkeley & Broome) Gjaerum (1966) |
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Cloque des chatons de l'aulne |
Ascomycota / Taphrinomycetes / Taphrinales / Taphrinaceae
Du latin Alnus : aulne.
Exoascus alnitorquus f. alni-incanaeJ.G. Kühn (1873), in Rabenhorst, Fungi europaei exsiccati, Klotzschii herbarii vivi mycologici continuatio, Edn 2, serie 2, n° 1616
Ascomyces alni Berkeley & Broome (1876), The annals and magazine of natural history, series 4, 17, p. 144 (Basionyme)
Exoascus alni f. strobilina Thümen (1879), in Rehm, Ascomyceten, 11, n° 518
Taphrina alni-incanae (J.G. Kühn) Magnus (1890), Hedwigia, 29(1), p. 25
Exoascus alni-incanae (J.G. Kühn) Saccardo (1892), Sylloge fungorum omnium hucusque cognitorum, 10, p. 69
Taphrina alni (Berkeley & Broome) Gjaerum (1966), Blyttia, 24, p. 188, 193 (nom actuel)
Thèques dépourvues de cellules basilaires, octosporées, de 40-45 x 10µm. Spores rondes 5 µm de diamètre, sur Alnus incana (aulne blanc).
Thèques mesurant jusqu'à 45-60 x 16-21 µm sur Alnus glutinosa (aulne glutineux).
Sur les chatons femelles d'Alnus. Fin du printemps-automne.
Les galles peuvent être reconnues même après la tombée des chatons et ainsi les rendre observables toute l'année. Répandu.
Sans intérêt
Gr. 254 ; Ellis p. 88 ; Fiches de Jean Mornand
Excroissances en forme de languette rouge ou verte, avec des bords arrondis. Surface supérieure plus large et rainurée.
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