Calyptella capula(Holmskjold) Quélet (1886) |
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Basidiomycota / Agaricomycetes / Agaricales / Incertae sedis
Peziza capula Holmskjold (1799), Beata ruris otia fungis Danicis impensa, 2, p. 41, tab. 22 (Basionyme) Sanctionnement : Fries (1822)
Cyphella laeta Fries (1838) [1836-38], Epicrisis systematis mycologici, p. 568
Cyphella capula (Holmskjold) Fries (1838) [1836-38], Epicrisis systematis mycologici, p. 568
Cyphella capula var. flavescens Patouillard (1883), Tabulae analyticae fungorum, 1, p. 20, pl. 36
Cyphella pimii W. Phillips (1884), Grevillea, 13(66), p. 49
Calyptella capula (Holmskjold) Quélet (1886), Enchiridion fungorum in Europa media et praesertim in Gallia vigentium, p. 216 (nom actuel)
Cyphella capula var. laeta (Fries) Costantin & L.M. Dufour (1891), Nouvelle flore des champignons, Edn 1, p. 183
Cyphella virgultorum Cooke & Ravenel (1891), Grevillea, 20(93), p. 9
Chaetocypha capula (Holmskjold) Kuntze (1891), Revisio generum plantarum, 2, p. 847
Chaetocypha laeta (Fries) Kuntze (1891), Revisio generum plantarum, 2, p. 847
Chaetocypha pimii (W. Phillips) Kuntze (1891), Revisio generum plantarum, 2, p. 847
Calyptella capula var. flavescens (Patouillard) Bigeard & H. Guillemin (1913), Flore des champignons supérieurs de France, 2, p. 479
Calyptella laeta (Fries) Bigeard & H. Guillemin (1913), Flore des champignons supérieurs de France, 2, p. 480
Cyphella velenovskyi Pilát (1924), Annales mycologici, edii in notitiam scientiae mycologicae universalis, 22(1-2), p. 206
Calyptella pimii (W. Phillips) Bourdot & Galzin (1928) [1927], Hyménomycètes de France. Hétérobasidiés- Homobasidiés Gymnocarpes, p. 156
Haut de 3-7 mm, formé d'une cupule membraneuse + ou - stipitée, dressée ou pendante, en forme de coupe ou d'entonnoir, ouverte ordinairement sur le côté. Face externe lisse, blanche à crème. Face interne tapissée d'un hyménium lisse, blanc à crème ou blanc de cire à blanchâtre. Marge sinueuse, lisse, faiblement crénelée, vite flétrie.
Consistance délicate, molle.
Jusqu'à 2 x 0,5 mm, passant insensiblement ou brutalement à la partie évasée de la coupe.
Elliptiques à oblongues sub-cylindriques, déprimées latéralement, un peu aplanies sur une face, atténuées obliquement ou oblongues piriformes, lisses, hyalines, 6-7,5-9 x 3,5-4,5µm, I-. Basides clavées, 20-25 (-30) x 6-8 (-9) µm, tétrasporiques, bouclées. Pas de cystides. Monomitique : Hyphes du sous-hyménium larges de 2 à 4µm, cloisonnées, bouclées. Hyphes du pied et de la trame larges jusqu'à 15 µm. Hyphes sinueuses, noueuses au niveau de la marge, à parois minces sans boucles, 3-8-24 µm.
Sur débris végétaux ainsi que sur bois mort aux endroits humides, également sur tiges pourrissantes de haricots, ombellifères, tubercules de pommes de terre restés sur le sol, etc.
Sans intérêt
BK 2 226 ; Cetto 4 p. 601 ; BG p. 155 n° 242 ; Bibliographie de Jacques Trimbach ; Fiches de Jean Mornand
Avec un Hymenoscyphus.
Isolés ou en groupes. Rare. Eté-automne (in-litt. septembre à février).
Les récoltes sont rarement comparables entre elles, trop peu abondantes et trop rares pour bien connaître toutes ces petites espèces. Les unes se flétrissent sans se décolorer, les autres brunissent ou noircissent ; il y a souvent du jaune à la base du stipe ou sur la cupule.
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