Basidiomycota / Agaricomycetes / Agaricales / Cortinariaceae

Synonymes   

Telamonia casimiri Velenovský (1921), Ceské houby, 3, p. 464 (Basionyme)
Cortinarius megasporus Singer (1949), Freïndling, 4, p. 95
Cortinarius casimiri (Velenovský) Huijsman (1955), Fungus, Officieel orgaan van de nederlandsche mycologische vereniging, 25(1-4), p. 20 (nom actuel)
Cortinarius undulatofibrillosus Pilát ex A. Favre (1997), Bulletin trimestriel de la Fédération mycologique Dauphiné-Savoie, 37(147), p. 10

Couleur : Brun, Crème, Gris, Jaune
Visqueux :Non
Forme mamelonnée :Oui
Hygrophane :Oui
Description :10-40 mm, campanulé, puis étalé, portant un mamelon persistant, parfois aigu, souvent ridé ou cannelé radialement, d'abord fibrilleux, hygrophane, souvent un peu strié au bord, brun-rouge foncé, plus clair à la marge, jaune grisâtre clair au sec, parfois noircissant par places.

Saveur :Douce

Couleur : Brun, Gris, Rouge
Description :Subdistantes, fortement émarginées, brun-rouge clair, rarement avec une nuance grise.

Couleur : Brun, Mauve, Rouge
Cortine :Oui
Bulbeux/Marginé :Oui ou Non
Forme :Cylindracé
Visqueux :Non
Description :30-70 x 2-5 mm, égal, à base souvent un peu bulbeuse et rénitente, souvent creux, blanc grisâtre, fibrilleux, luisant, puis brun-gris clair, parfois violacé au sommet, fréquemment rosé à la base (notamment au toucher). Voile blanc, cotonneux, laissant un anneau et des flocons, puis des restes fibrilleux.

10-11,5 x 6-7 µm, ellipsoïdes, trapues, souvent avec une portion cylindracée à ornementation assez grossière et de hauteur moyenne.

Sous feuillus, surtout Salix, Betula, Fagus, Quercus, dans des terrains assez riches, parmi les herbes, sur la terre nue.

Sans intérêt

Références bibliographiques

BK 5 309 ; Tartarat p. 187 ; Eyssartier et Roux p. 780 ; Bibliographie des Cortinaires de Gaston Garnier ; Bibliographie de Jacques Trimbach ; Fiches de Jean Mornand

Cortinarius subsertipes (synonyme selon certains auteurs).

Cortinarius casimiri f. subsertipes (= Cortinarius subsertipes)

Espèce caractérisée par ses grandes spores, les cannelures de son chapeau, ses lames subdistantes et ses restes de voile. La base du stipe rougit légèrement et est souvent bulbilleuse, au moins sous les doigts.