Lepiota castaneaQuélet (1881) [1880] |
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Lépiote châtain |
Basidiomycota / Agaricomycetes / Agaricales / Agaricaceae
Lepiota castanea Quélet (1881) [1880], Compte rendu de l'Association française pour l'avancement des sciences, 9, p. 661, pl. 8, fig. 1 (Basionyme) (nom actuel)
Mastocephalus castaneus (Quélet) Kuntze (1891), Revisio generum plantarum, 2, p. 859
Crème, mince, odeur très désagréable, un peu vers L. cristata, ou de Pelargonium, ou de bois de cèdre, saveur douce non typique.
Bois de cèdre, Pelargonium
Tronquées ou éperonnées, à apicule latéral, lisses, hyalines, dextrinoïdes,(7) 9-11 (12)x 3-4,5 (5) µm ; sporée blanche. Basides clavées, tétrasporiques, bouclées. Cheilocystides fusiformes à clavées. Pleurocystides non observées. Cuticule formée d'extrémités d'hyphes couchées ou dressées, multiseptées ( 1 -3 cloisons ),à pigmentation membranaire brune.
Dans les forêts de feuillus, plus rarement sous conifères ( Picea ), sur litière de feuilles et d'aiguilles mortes, dans les parcs, sous buissons et ronces, parmi les herbes en bordure de chemin, sur sols basiques et frais.
Toxique
Bon p. 285 ; CD 675-282, 108 ; Eyssartier et Roux p. 330, 344 4eme édition ; Phillips p. 28 ; BK 4 p. 194 ; DM hors série 3 p. 53/54 ; Bibliographie de Jacques Trimbach ; Fiches de Jean Mornand
Souvent grégaires, rarement isolés. Peu fréquent. Eté-automne.
Remarques : Cette espèce est diversément interprétée dans la littérature.
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