Basidiomycota / Agaricomycetes / Corticiales / Vuilleminiaceae

Synonymes   

Thelephora comedens Nees (1817), Das system der pilze und Schwämme, p. 239, tab. 34, fig. 255 (Basionyme) Sanctionnement : Fries (1821)
Thelephora carnosa Ehrenberg (1818), Sylvae mycologicae berolinenses, p. 18, 30
Thelephora epidermea Persoon (1822), Mycologia europaea, seu complet omnium fungorum in variis europaeae regionibus detectorum enumeratio, 1, p. 136
Thelephora decorticans Persoon (1822), Mycologia europaea, seu complet omnium fungorum in variis europaeae regionibus detectorum enumeratio, 1, p. 137
Radulum botrytes Fries (1828), Elenchus fungorum, sistens commentarium in systema mycologicum, 1, p. 152
Thelephora decorticans tricolor Secretan (1833), Mycographie Suisse, 3, p. 217 (nom. inval.)
Corticium comedens (Nees) Fries (1838) [1836-38], Epicrisis systematis mycologici, p. 565
Corticium botrytes (Fries) Quélet (1888), Flore mycologique de la France et des pays limitrophes, p. 5
Corticium comedens var. botrytes (Fries) Quélet (1888), Flore mycologique de la France et des pays limitrophes, p. 5
Corticium carlylei Massee (1890) [1891], The journal of the linnean Society, botany, 27(182), p. 148
Terana comedens (Nees) Kuntze (1891), Revisio generum plantarum, 2, p. 872
Vuilleminia comedens (Nees) Maire (1902), Bulletin de la Société mycologique de France, 18(4), supplément p. 81 (nom actuel)

Couleur : Blanc, Gris
Description :Entièrement résupinée formant des surfaces de plusieurs décimètres de diamètre. Surface hyméniale plus ou moins lisse, mate-lardacée-brillante par hydratation, blanchâtre à faiblement carnée ou grisâtre et teintée de lilas, souvent tachée.

Gélatineuse-céracée, visqueuse au toucher, parfois feutrée-blanchâtre à la marge, chez les vieux exemplaires.

Cylindriques, légèrement arquées, lisses, hyalines, parfois guttulées, 15-19 x 5,5-6µm. Basides, grandes, étroitement clavées 100 x 12µm, pourvues de 4 stérigmates, également bisporiques occasionnellement. Hyphes larges 1,5µm, cloisonnées et bouclées.

Sur bois mort décortiqué, branches tombées, ou encore à l'arbre, également sur troncs, tout particulièrement de Querçus, mais aussi de Corylus, d'Alnus.

Sans intérêt

Références bibliographiques

Bon p. 323 ; BK 2 217 ; Fiches de Jean Mornand

Pâlissant à l'état sec. L'écorce des branches et troncs colonisés se détache et s'enroule de manière typique.
Tout au long de l'année, mais surtout en automne et en hiver. Fréquent.