Russula mariaePeck (1872) [1871] |
||
Russule de Marie, Russule saturée de violet (ムラサキカスリタケ) |
Basidiomycota / Agaricomycetes / Russulales / Russulaceae
Russula mariae Peck (1872) [1871], Annual report of the New York state Museum of natural history, 24, p. 74 (Basionyme)
Russula alachuana Murrill (1938), Mycologia, 30(4), p. 362
Russula subviridella Murrill (1943), Lloydia, 6, p. 218
Russula subcyanoxantha Murrill (1943), Lloydia, 6, p. 217
non ss. Singer nec Hongo (= R. bella) ;
R. amoena ss. Hongo 1967, 1989, non Quél. ;
R. punctata Krombh. ss. Kawamura 1929, 1954
Douce
Faible/Nulle
Pallidosporée
Sporée crème à ocre pâle (C-D). Spores subglobuleuses, 7-8,5(9,5) x 6,5-7,5(8)µm, ornées de verrues reliées en filet par de hautes crêtes (-1µm), amyloïdes. Pleurocystides abondantes, lancéolées, 70-90 x 11,5-13,5 µm, piléocystides 55-87 x 3,5-5,5 µm.
Kauffman (1918) p. 143 ; IH1 595 (s.n. R. amoena) ;
Mille et un champignons du Québec
; Bibliographie de Jacques Trimbach
R. mariae, qui semble être le pendant de Russula amoena côté Pacifique et qui est décrite avec des couleurs hyper-saturées, convient bien mieux aux spécimens japonais où elle est assez commune sous le nom de R. amoena.
Pour vous accompagner lors de vos sorties mycologiques, MycoDB vous recommande les guides suivants :