Ascomycota / Leotiomycetes / Rhytismatales / Rhytismataceae

Synonymes   

Xyloma pini Albertini & Schweinitz (1805), Conspectus fungorum in Lusatiae superioris, p. 60, tab. 5, fig. 8 (Basionyme) Sanctionnement : Fries (1823)
Hysterium valvatum Nees (1817), Das system der pilze und Schwämme, p. 281, tab. 39, fig. 299
Phacidium pini (Albertini & Schweinitz) J.C. Schmidt (1817), Mykologische hefte, 1, p. 30, tab. 2, fig. 11
Actidium esenbeckii Gray (1821), A natural arrangement of British plants, 1, p. 509
Phacidium valvatum (Nees) Wallroth (1833), Flora cryptogamica germaniae, 2, p. 416
Rhytisma pini (Albertini & Schweinitz) Link (1833), Handbuch zur Erkennung der natuzbarsten und am häufigsten vorkommenden Gewächse, 3, p. 392
Pyrenochium pini (Albertini & Schweinitz) Link (1833), Handbuch zur Erkennung der natuzbarsten und am häufigsten vorkommenden Gewächse, 3, p. 385
Coccomyces pini (Albertini & Schweinitz) De Notaris (1863), Commentario della Societa crittogamologica Italiana, 1(5), p. 371
Stictis therryana Roumeguère (1882), Fungi gallici exsiccati, n° 1854
Therrya gallica Saccardo & Penzig (1882), Michelia, 2(8), p. 604
Coccophacidium pini (Albertini & Schweinitz) Rehm (1888), Rabenhorst's kryptogamen-flora von Deutschland, Oesterreich und der Schweiz, Zweite Auflage, Pilze, 1(3), p. 98
Therrya pini (Albertini & Schweinitz) Höhnel (1917), Berichte der deutschen botanischen Gesellschaft, 35(5), p. 422 (nom actuel)
Durandiella helveticaGremmen (1955), Sydowia : Annales mycologici, editi in notitiam scientiae mycologicae universalis, series II, 9(1-6), p. 434

Couleur : Brun, Gris, Noir
Description :Réceptacles épars ou groupés, érumpants, arrondis puis anguleux, hémisphériques mais déprimés, d'abord clos et d'un noir brillant, puis se fendant en 4-6 dents obtuses, pour montrer un hyménium brunâtre, large de 2 à 4 mm.

Thèques cylindriques-claviformes, rétrécies à la base en un long pédicelle. Paraphyses simples, agglutinées, septées, épaisses de 2 µ environ, terminées par une clavule brunâtre de 6 µ d'épaisseur environ. Octospores, 100-130 µm, ne bleuissant pas par l'iode. Spores fasciculées, clavulées-filiformes, en pointe éffilée aux extrémités, la moitié inférieure de la spore étant plus étroite que la moitié supérieure, d'abord cotinues et pluriguttulées, puis pluriseptées, d'abord incolores puis jaunâtres, 65-80 x 3-4 µm.

Sur écorce de Pinus sylvestris.

Sans intérêt

Références bibliographiques

Gr. 654 ; Ellis p. 184 pl. 816 ; Dennis 234 ; Bibliographie de Jacques Trimbach ; Fiches de Jean Mornand

Assez commun. Période propice: Février-Juillet.