Russula sanguineaFries (1838) [1836-38] |
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Russule sanguine, Russule rouge sang |
Basidiomycota / Agaricomycetes / Russulales / Russulaceae
Agaricus sanguineus Bulliard (1781), Herbier de la France, 2, tab. 42 (nom. illegit.)
Agaricus sanguinarius Schumacher (1803), Enumeratio plantarum in partibus Saellandiae septentrionalis et orientalis, 2, p. 244
Agaricus linnaei var. ß sanguinarius (Schumacher) Fries (1815), Observationes mycologicae praecipue ad illustrandam floram suecicam, 1, p. 68
Russula sanguinea Fries (1838) [1836-38], Epicrisis systematis mycologici, p. 351 (Basionyme) (nom actuel)
Russula acris Steinhaus (1888), Hedwigia, 27(2), p. 51
Russula rosacea ss. Cooke (1890), Illustrations of british fungi, 7, n° 982, tab. 1020
Russula sanguinaria (Schumacher) Rauschert (1989), Ceská mykologie, 43(4), p. 204
Blanchâtre, ferme.
Faible/Nulle
Pallidosporée, Ochrosporée
7,3-9,1 x 5,9-7,2 µm, à verrues épineuses assez fortes (1 µm), isolées ou presque.
Sans intérêt
BK 6 198 ; CD 1392-416, 94, 95 ; Cetto 203 ; Galli p. 250 ; Sarnari 616 ; Bon p. 75 ; Marchand 448 ; Eyssartier et Roux p. 238, 248 4eme édition ; Bibliographie de Jacques Trimbach ; Fiches de Jean Mornand
Lorsqu'elle pousse en région méditerranéenne, cette espèce peut jaunir dans toutes ses parties, on la nomme alors R. sanguinea var. pseudorosacea.
C'est sous cette variété qu'on peut la confondre avec Russula luteotacta, qui est néanmoins bien différente par sa sporée blanche et son habitat sous feuillus.
Russula rhodopus est proche, mais se distingue par sa poussée sous épicéas montagnard sur sol humide. Il existe une forme blanche.
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