Porostereum spadiceum(Persoon) Hjortstam & Ryvarden (1990) |
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Lophaire châtaine |
Basidiomycota / Agaricomycetes / Polyporales / Phanerochaetaceae
Thelephora spadicea Persoon (1801), Synopsis methodica fungorum, p. 568 (Basionyme) Sanctionnement : Fries (1821)
Stereum spadiceum (Persoon) Fries (1838) [1836-38], Epicrisis systematis mycologici, p. 549
Stereum venosum Quélet (1884) [1883], Compte rendu de l'Association française pour l'avancement des sciences, 12, p. 505, tab. 11, fig. 16
Hymenochaete olivacea Cooke (1885), Grevillea, 14(69), p. 11 ('olivaceum')
Stereum spadiceum var. venosum (Quélet) Quélet (1886), Enchiridion fungorum in Europa media et praesertim in Gallia vigentium, p. 205
Peniophora atrocinerea Massee (1889) [1890], The journal of the linnean Society, botany, 25(170), p. 141
Stereum purpureum var. venosum (Quélet) Massee (1890) [1891], The journal of the linnean Society, botany, 27(182), p. 186
Lloydella spadicea (Persoon) Bresadola (1901), in Lloyd, Mycological writings, 1, mycological notes n° 6, p. 51
Stereum atrocinereum (Massee) Van der Byl (1929), Annale van die Uniwersiteit van Stellenbosch, 7, A(3), p. 44
Stereum sponheimeri Pilát (1937), Bulletin de la Société mycologique de France, 53, p. 92
Lopharia spadicea (Persoon) Boidin (1959), Bulletin mensuel de la Société linnéenne de Lyon, 28(7), p. 211
Porostereum spadiceum (Persoon) Hjortstam & Ryvarden (1990), Synopsis fungorum (Oslo), 4, p. 51 (nom actuel)
Fructifications résupinées. Surface finement hirsute, feutrée, zonée, brune à gris-brun. Marge mince, ondulée, fibreuse, blanche ou jaune-blanchâtre.
Hyménium souvent ridé crevacé à l'état sec, gonflé à l'état imbu, gris bistré, cendré, un peu olivacé. Sporée blanchâtre.
0,5-1,5 mm épaisseur, coriace, molle, puis cassante à sec, brune.
Ovales, lisses hyalines, 5,5-7 x 3,5-4,5 µm. Basides clavées, tétrasporiques. Cystides sous forme de pseudocystides issues des hyphes squelettiques, émergentes, brunes, à paroi épaisse, très incrustées dans la portion émergente. Système dimitique: hyphes hyalines larges et bouclées + hyphes squelettiques non cloisonnées.
Sur branches et troncs cortiqués ou non de feuillus, sur tas de bois morts, surtout Fagus.
Peu commun. Du printemps à l'automne.
Sans intérêt
Jülich 198 ; BK 2 240 ; Marchand 331 ; Eyssartier et Roux p. 1016
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