Ramaria stricta(Persoon) Quélet (1888) |
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Clavaire dressée, Ramaire droite |
Basidiomycota / Agaricomycetes / Gomphales / Gomphaceae
Clavaria lumbricoides F.H. Wiggers (1780), Primitiae flora holsaticae, p. 107
Clavaria stricta Persoon (1795), in Usteri, Annalen der botanik, 15, p. 33 (Basionyme) Sanctionnement : Fries (1821)
Clavaria syringarum Persoon (1822), Mycologia europaea, seu complet omnium fungorum in variis europaeae regionibus detectorum enumeratio, 1, p. 164
Merisma strictum (Persoon) Sprengel (1827), Systema vegetabilium, Edn 16, 4(1), p. 495
Clavaria pruinella Cesati (1862), in Rabenhorst, Fungi europaei exsiccati, Klotzschii herbarii vivi mycologici continuatio, Edn 2, serie 2, n° 414
Clavariella stricta (Persoon) P. Karsten (1882), Bidrag till kännedom af Finlands natur och folk, 37, p. 188
Corallium strictum (Persoon) C. Hahn (1883), Der pilzsammler; oder, Anleitung zur kenntniss der wichtigsten pilze Deutschlands und der angrenzenden länder, Edn 1, p. 73
Ramaria stricta (Persoon) Quélet (1888), Flore mycologique de la France et des pays limitrophes, p. 464 (nom actuel)
Clavaria kewensis Massee (1896), The journal of botany, british and foreign, 34, p. 153
Clavaria dendroidea ss. Bourdot & Galzin (1910), Bulletin de la Société mycologique de France, 26(2), p. 214
Clavaria condensate ss. Bourdot & Galzin (1910), Bulletin de la Société mycologique de France, 26(2), p. 214
Ramaria bourdotiana Maire (1937), Publicaciones del Instituto botánico, Barcelona, 3(4), p. 32
Nombreux rameaux principaux, jusqu'à 8 mm d'épaisseur, souvent sillonnés ou aplatis puis érigés, parallèles, jaune ochracé, cannelle ochracé vineux, cannelle brunâtre ou rosâtre, devenant brunâtre olivacé à brunâtre violet à la manipulation et aux blessures. Extrémités pointues souvent allongées et parallèles, de jaunâtre à jaune verdâtre, puis crème ou brunâtre rosâtre ou jaune soufre. Angulations en U étroit.
Elastique, coriace. Odeur d'anis à poivrée, saveur amère, acidulée à légèrement anisée dans la jeunesse.
Anis, Poivre
Largement elliptiques, faiblement verruqueuses, verrues dispersées ou à peine reliées, parfois presque lisses, guttulées,(6)-7,5-10 x 4-5 µm. Basides étroitement clavées, 25-35 x 8-9 µm, tétrasporiques et bouclées. Cystides absentes. Monomitique : (1) - Hyphes à parois minces à épaissies, larges de 3-8 µm, cloisonnées et bouclées. (2) - Rhizoïdes dimitiques, hyphes génératrices à parois épaissies, (ressemblant à des hyphes squelettiques), bouclées. Hyphes squelettiques non septées, à parois épaissies.
Sans intérêt
Bon p. 309 ; CD 121 ; Eyssartier et Roux p. 1004, 1008 ; BK 2 475 ; L.R.E. p. 146 ; Jülich 2 p. 114 ; Cetto 2 781 ; Funghi Clavarioidi 2 p. 715 ; Bibliographie de Jacques Trimbach ; Fiches de Jean Mornand
Isolé à grégaire. Peu fréquent. Eté-Automne.
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