Psathyrella typhae(Kalchbrenner) A. Pearson & Dennis (1948) [1947-48] |
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Psathyrelle des massettes |
Basidiomycota / Agaricomycetes / Agaricales / Psathyrellaceae
Agaricus typhae Kalchbrenner (1861), in Rabenhorst, Fungi europaei exsiccati, Klotzschii herbarii vivi mycologici continuatio, Edn 2, serie 2, n° 306 (basionyme)
Psathyra typhae (Kalchbrenner) Saccardo (1887), Sylloge fungorum omnium hucusque cognitorum, 5, p. 1067
Naucoria scirpicola Peck (1889) [1888], Annual report of the New York state Museum of natural history, 42, p. 19, tab. 2, fig. 6-10
Naucoria typhicola Hennings (1892) [1891], Verhandlungen des botanischen Vereins der Provinz Brandenburg, 33, p. xl
Psathyra typhae var. iridis Boudier (1897), Bulletin de la Société mycologique de France, 13(1), p. 13
Pratella typhae (Kalchbrenner) Hennings (1898), in Engler & Prantl, Die natürlichen Pflanzenfamilien, 1(1**), p. 235
Pilosace typhae (Kalchbrenner) Kuntze (1898), Revisio generum plantarum, 3, p. 504
Drosophila typhae (Kalchbrenner) Romagnesi (1939), Revue de mycologie, Paris, 4, p. 124
Conocybe typhicola (Hennings) Schweers (1941), Mededeelingen van de Nederlandsche mycologische vereeniging, 25, p. 7 (nom. inval.)
Psathyrella typhae (Kalchbrenner) A. Pearson & Dennis (1948) [1947-48], Transactions of the British Mycological Society, 31(3-4), p. 185
Candolleomyces typhae (Kalchbrenner) D. Wächter & A. Melzer (2020), Mycological Progress, 19(11), p. 1234 (nom actuel)
Blanchâtre, mince, odeur nulle, saveur douce, non typique.
Ellipsoïdales, lisses, jaune gris clair, sans pore germinatif, 9,2-11,4 x 4,9-6,5 µm : sporée brun rouge foncé. Basides clavées, tétrasporiques, non bouclées. Cheilocystides +/- cylindriques, lagéniformes, entremêlées de cellules vésiculeuses. Cuticule formée de cellules arrondies à ovoïdes, à pigmentation brun clair ; cloisons non bouclées.
Sur tiges ou feuilles mortes de diverses plantes aquatiques telles que Typha, Phragmites, et autres, le plus souvent peu de cm au-dessusdu niveau de l'eau.
Sans intérêt
CD 799 ; BK 4 360 ; Moser 1 p. 289 ; Bibliographie de Jacques Trimbach ; Fiches de Jean Mornand
Grégaires ou en groupes, rarement isolés. Rare. Eté-automne.
Remarques : Cette espèce est facile à reconnaître à son habitat particulier sur débris de plantes mortes des marais .
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