En ce moment, après le mois de précipitations du week-end dernier… elles sont sorties furieuses, impatientes.
Et elles ont atteint des tailles "respectables", plus de 10 cm de diamètre et de hauteur.
Surtout la première, facile à reconnaître à sa chair violette, et à son apparition printanière.
Elle pousse n'importe où, dans la sciure, sur la pente des talus, à l'ombre comme en plein soleil, sous châtaigniers, bouleaux, pommiers, et même sous épicéas.
Peziza phyllogena, Images
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La seconde, plus problématique, du groupe de pézizes brunes, café au lait, comme
Peziza varia,
Peziza micropus,
Peziza cerea,
Peziza vesiculosa…
Je l'ai nommée
Peziza repanda… drôle de nom, un rien ambigu.
Après micro bien sûr.
Elle croissait en masse sur la sciure et les débris ligneux où je stocke mon bois de chauffage.
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Sur les fumiers pailleux, Peziza vesiculosa a déjà bien proliféré en avril, tout comme sur la balle de foin que je garde à sa disposition.
Et les petits ascos de printemps, sur tiges de plantes de l'an passé, entrent dans la ronde.
bonnes recherches
jean pierre