Fuligo septica, le plus courant et le plus connu, avec Lycogala epidendron ( les petits boules oranges à roses, puis grises ).
L'avantage de la recherche des myxomycètes est qu'on en trouve tout l'année, et qu'il n'est pas nécessaire de faire des kilomètres à pied.
Les tas de feuilles, d'herbes sèches, les branches mortes, les mousses au nord, tout est propice, s'il y a un peu d'humidité.
Si on a la chance de vivre en montagne, la neige fondante permet d'en trouver en grande quantité, et de voir les plus belles espèces, absentes des plaines.
Il existe maintenant un livre incontournable, qui vient de paraître, celui de nos amis Marianne Meyer, Michel Poulain et Jean Bozonnet
http://www.fmbds.org/myxos.html
Pour se faire une idée, avant d'investir, on peut se procurer le bulletin " spécial Myxomycètes ", de la Fédération Dauphiné Savoie, c'est parfait pour débuter, et comprendre ce que sont les myxos. http://www.fmbds.org/speciaux.html
J'ajouterai que le microscope est indispensable pour affiner les déterminations, et qu'une loupe binoculaire procure un plaisir non égalé à l'examen des fructifications, étant donné que nombreux sont ceux qui avoisinent le millimètre.
Enfin, ils se conservent facilement des années, sans perdre leur éclat pour la plupart.
Si certains d'entre vous s'y intéressent, je peux répondre avec plaisir à toutes leurs questions.
Bonnes recherches
jean pierre
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