Typiquement à chair lilacine. Ici, c'est encore plus visible que d'habitude. Quelquefois, on ne le voit bien qu'à la coupe.
Hyménium olivâtre, qui peut être plus brun rouge par la suite.
Printanière, et fidèle chez moi.
Elle commençait à souffrir du manque d'eau.
Chaud chaud dehors.
jean pierre

Bonsoir
Très belle photographie d'un sujet effectivement exceptionnellement bleuté.
Parfois cette nuance bleutée de la chair n'est perceptible qu'à la base de l'apothécie.
En Charente maritime elle semble nitrophile, par exemple en bordure de chemin forestier après passage de nombreux tracteurs ayant broyé et enterré les végétaux ligneux. Elle se manifeste de la fin de l'hiver à l'automne.
Bonne fin de soirée.

Après conservation en boîte humide quelques jours…
le même champignon…
Comment reconnaître ses petits?
Même la chair a perdu son bleu…

Et deux récoltes d'aujourd'hui, l'une dans des débris de bois et l'autre dans une pessière, où certains exemplaires atteignaient presque 10 cm.
Si variable champignon…

Et une récolte d'hier, exprès pour perturber notre compréhension des choses.
Deux exemplaires jeunes, grimpant sur le tronc moussu d'un frêne vivant, mais gravement blessé, au bord du Méchet, ma rivière.

Pour résumer comme la nature nous balade,
premiers exemplaires de l'année, sur un talus sous noisetiers et lilas…
puis 15 jours plus tard, chez mon voisin, dans les débris d'écorces près de ses piles de bois…
encore 2 semaines, et apparition dans une plantation d'épicéas malades, en grand nombre, et géantes…
enfin, à l'assaut de ce tronc de frêne au fond de la vallée…
Cherchez les raisons du champignon, qui affole la nôtre…
S'amuser à réfléchir.
Bon dimanche aux travailleurs et aux promeneurs.
jean pierre