Agaricus bitorquis(Quélet) Saccardo (1887) |
Psalliote des trottoirs, Agaric des trottoirs |
Basidiomycota / Agaricomycetes / Agaricales / Agaricaceae
Agaricus campestris var. edulis Vittadini (1835), Descrizione dei funghi mangerecci più comuni dell'Italia e de'velenosi che possono co'medesimi confondersi, p. 41, tab. 6
Agaricus rodmanii Peck (1884) [1883], Annual report of the New York state Museum of natural history, 36, p. 45
Psalliota bitorquis Quélet (1884) [1883], Compte rendu de l'Association française pour l'avancement des sciences, 12, p. 500, tab. 6, fig. 8 (basionyme)
Pratella campestris var. bitorquis (Quélet) Quélet (1886), Enchiridion fungorum in Europa media et praesertim in Gallia vigentium, p. 110
Agaricus bitorquis (Quélet) Saccardo (1887), Sylloge fungorum omnium hucusque cognitorum, 5, p. 998 (nom actuel)
Pratella bitorquis (Quélet) Quélet (1888), Flore mycologique de la France et des pays limitrophes, p. 72
Psalliota campestris var. bitorquis(Quélet) Costantin & L.M. Dufour (1891), Nouvelle flore des champignons, Edn 1, p. 119
Fungus rodmanii (Peck) Kuntze (1898), Revisio generum plantarum, 3, p. 480
Fungus bitorquis (Quélet) Kuntze (1898), Revisio generum plantarum, 3, p. 479
Psalliota rodmanii (Peck) Kauffman (1918), Michigan geological and biological survey, biological series 5, 26, p. 235
Agaricus campestris subsp.* bitorquis (Quélet) Konrad & Maublanc (1924), Icones Selectae Fungorum, 6, pl. 60
Psalliota campestris var. edulis (Vittadini) Bresadola (1931), Iconographia mycologica, 17, tab. 825
Psalliota edulis (Vittadini) N.F. Buchwald (1937), Spise og Giftsvampe, p. 125
Agaricus edulis (Vittadini) F.H. Møller & Jul. Schäffer (1938), Annales mycologici, edii in notitiam scientiae mycologicae universalis, 36(1), p. 75 (nom. illegit.)
Chair blanchâtre, épaisse, dure à rougissement lent à la coupe.
Odeur agréable de champignon. Saveur douce de noisette.
Spores largement elliptiques, lisses, brunâtres, à paroi épaisse, 5-7 x 4-5,5 µm. Sporée brun pourpre foncé.
Basides clavées, tétrasporiques, non bouclées.
Cheilocystides clavées, 16-30 x 9-13 µm. Pleurocystides absentes.
Cuticule formée d'hyphes couchées, parallèles, larges de 4-8 µm, non bouclées, en partie pigmentées de brun.
Terrains vagues, cailloux, les lieux anthropisés, souvent dans les villes au pied des arbres d'où le mycélium rayonne sous l'asphalte des trottoirs.
Mai-octobre (avril-décembre). Fréquent.
Sans intérêt
CD 725, édition 2017 723-290, 155 ; Galli p. 68 ; Bon p. 275 ; Marchand 109 ; Eyssartier et Roux p. 276, 286 4éme édition ; LP p.
512
Agaricus bernardii est halophile et possède un chapeau se crevassant fortement.
Agaricus bernardiiformis
Agaricus fissuratus
Agaricus maleolens
Agaricus robynsianus est halophile, malodorant, possède des spores plus grande et n'a pas de cheilocystides
Agaricus bitorquis var. validus : fort rougissement de la chair à la coupe.