Aleurodiscus amorphus(Persoon) Rabenhorst (1874) |
Corticie amorphe |
Basidiomycota / Agaricomycetes / Russulales / Stereaceae
Peziza amorpha Persoon (1801), Synopsis methodica fungorum, p. 657 (Basionyme) Sanctionnement : Fries (1828)
Thelephora amorpha (Persoon) Fries (1828), Elenchus fungorum, sistens commentarium in systema mycologicum, 1, p. 183
Boletus amorphus (Fries) J. Becker (1828), Flora der Gegend um Frankfurt am Main, zweite abtheilung, p. 597
Corticium amorphum (Persoon) Fries (1838) [1836-38], Epicrisis systematis mycologici, p. 559
Stereum amorphum (Persoon) Fuckel (1860), Jahrbücher des nassauischen vereins für naturkunde, 15, p. 102
Aleurodiscus amorphus (Persoon) Rabenhorst (1874), Hedwigia, 13(12), p. 184 (nom actuel)
Lachnea amorpha (Persoon) Gillet (1880), Champignons de France, les discomycètes, p. 89
Cyphella amorpha (Persoon) Quélet (1886), Enchiridion fungorum in Europa media et praesertim in Gallia vigentium, p. 215
Terana amorpha (Persoon) Kuntze (1891), Revisio generum plantarum, 2, p. 872
Consistance céracée, molle.
Arrondies à ovales, hérissées de poils courts, obtus, hyalines, 25-30 x 22-25 µm. Basides cylindriques, clavées, tétrasporiques non bouclées. Hyphes terminales moniliformes (gléocystides) ; Hypes larges cloisonnées et bouclées.
A la base des branches pendantes ou tombées, des bois morts et cortiqués dans les plantations d'Abies, plus rarement sur Picea, Pseudotsuga, Fagus.
Peu ou pas lignivore. Toute l'année, mais surtout en période humide. Fréquent.
Sans intérêt
CD 60 ; BK 2 45 ; BG 334
Cette espèce est souvent associée à un ascomycète, Lachnellula subtilissima et souvent parasitée par Phaeotremella simplex par temps humide.