Calvatia gigantea(Batsch) Lloyd (1904) |
Vesse de loup géante, Tête de mort |
Basidiomycota / Agaricomycetes / Agaricales / Lycoperdaceae
Lycoperdon bovista Linnaeus (1753), Species plantarum exhibentes plantas rite cognitas ad genera relatas, 2, p. 1183 (nom. rej.)
Lycoperdon polymorphum var. glabrum Scopoli (1772), Flora carniolica, Edn 2, 2, p. 487, var. 1
Lycoperdon maximum Schaeffer (1774), Fungorum qui in Bavaria et Palatinatu circa Ratisbonam, 4, p. 130, tab. 191
Lycoperdon bovista var. glabrum (Scopoli) Lightfoot (1777), Flora scotica, 2, p. 1066
Lycoperdon giganteum Batsch (1786), Elenchus fungorum, continuatio prima, p. 237, tab. 29, fig. 165 (Basionyme) Sanctionnement : Persoon (1801)
Lycoperdon proteus var. bovista (Linnaeus) Sibthorp (1794), Flora oxoniensis, p. 400
Lycoperdon proteus Sowerby (1801), Coloured figures of English fungi or mushrooms, tab. 332
Lycoperdon craniolare Paulet (1808) [1793], Traité des champignons, 2, p. 444, tab. 200, fig. 1
Bovista gigantea (Batsch) Nees (1817), Das system der pilze und Schwämme, 2, p. 34, tab. 11, fig. 124-b
Langermannia gigantea (Batsch) Rostkovius (1839), in Sturm, Deutschlands flora, Abt. III, die pilze Deutschlands, 5(18), p. 23, tab. 10
Globaria gigantea (Batsch) Quélet (1873), Mémoires de la Société d'Emulation de Montbéliard, série 2, 5, p. 370(362)
Bovistaria gigantea (Batsch) P. Karsten (1889), Bidrag till kännedom af Finlands natur och folk, 48, p. 10
Globaria bovista (Linnaeus) J. Schröter (1889), in Cohn, Kryptogamen-flora von Schlesien, 3(1), p. 699
Calvatia maxima (Schaeffer) Morgan (1890), Journal of the Cincinnati Society of natural history, 12(4), p. 166
Calvatia bovista (Linnaeus) T. Macbride (1896), Bulletin from the Laboratories of natural history of the state university of Iowa, 4(1), p. 41
Calvatia gigantea (Batsch) Lloyd (1904), Mycological writings, 1, mycological notes n° 16, p. 166 (nom actuel)
Calvatia primitiva Lloyd (1905), Mycological writings, 1, the Lycopodaceae of Australia, New Zealand and neighboring islands, p. 36
Lasiosphaera gigantea (Batsch) F. Šmarda (1958), in Pilát, Flora CSR : Gasteromycetes, p. 308
Langermannia maxima (Schaeffer) Pázmány (1996) [1994-95], Notulae botanicae, Horti agrobotanici Cluj-Napoca, 24-25, p. 29
Rondes, finement verruqueuses, parfois presque lisses, brunâtres, 3,5-5µm, à parois un peu épaisses, parfois guttulées. Basides clavées, 4 stérigmates. Fibres du capillitium brunâtres à parois épaisses, lisses, bosselées, larges, cloisonnées, non bouclées, ramifiées, légèrement cassantes à petits pores isolés.
Désagréable
Espèce nitrophile, fidèle à ses stations, dans les prairies, les jachères, les jardins, les lieux incultes.
Comestible
Bon p. 305 ; BK 2 511 ; Marchand 372 ; Eyssartier et Roux p. 1046, 1078 4eme édition
Répandue. Peu fréquent. Fin août début octobre.
Espèce étrange, capable de pousser en une nuit, tout au plus en deux ou trois jours, et de produire environ 7 trillions de spores dans un carpophore de 40 cm de diamètre.
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