Cantharellus cibariusFries (1821) |
Girolle, Chanterelle, Jaunotte, Jauniré, Fifrelin |
Basidiomycota / Agaricomycetes / Cantharellales / Hydnaceae
Agaricus chantarellus Linnaeus (1753), Species plantarum exhibentes plantas rite cognitas ad genera relatas, 2, p. 1171
Agaricus cantharellus Linnaeus (1763), Species plantarum exhibentes plantas rite cognitas ad genera relatas, Edn 2, 2, p. 1639
Merulius cantharellus (Linnaeus) Scopoli (1772), Flora carniolica, Edn 2, 2, p. 461
Agaricus pseudounctuosus Batsch (1783), Elenchus fungorum, p. 93, tab. 9, fig. 37
Cantharellus flavescens Lamarck (1783), Encyclopédie méthodique, Botanique, 1, p. 694
Agaricus luteolus Batsch (1786), Elenchus fungorum, continuatio prima, p. 163, tab. 23, fig. 120 (nom. illegit.)
Cantharellus edulis Persoon (1797), Tentamen dispositionis methodicae fungorum, p. 26
Hyponevris cantharella (Linnaeus) Paulet (1808) [1793], Traité des champignons, 2, p. 128, tab. 36, fig. 1-5
Cantharellus cibarius Fries (1821), Systema mycologicum, 1, p. 318 (Basionyme) Sanctionnement : Fries (1821) (nom actuel)
Cantharellus vulgaris Gray (1821), A natural arrangement of British plants, 1, p. 636
Merulius cibarius (Fries) J. Becker (1828), Flora der Gegend um Frankfurt am Main, zweite abtheilung, p. 561
Cantharellus luteus Wettstein (1886) [1885], Verhandlungen der kaiserich-königlichen zoologisch-botanischen Gesellschaft in Wien, 35, p. 568
Craterellus cibarius (Fries) Quélet (1888), Flore mycologique de la France et des pays limitrophes, p. 37
Alectorolophoides cibarius (Fries) Earle (1909), Bulletin of the New York botanical Garden, 5(18), p. 407
Chanterel chantarellus (Linnaeus) Murrill (1910), North American flora, 9(3), p. 169
Cantharellus cibarius f. pallidus R. Schulz (1923), Führ. Pilzfr., 1, no. 82
Cantharellus carneoalbus R. Heim (1960), Revue de mycologie, Paris, 25(3-4), p. 225 (nom. inval.)
Cantharellus cibarius var. carneoalbus R. Heim ex Corner (1966), A monograph of Cantharelloid fungi: Annals of botany memoirs, 2, p. 40
Cantharellus cibarius var. atlanticus Romagnesi (1995), Documents mycologiques, 25(98-100), p. 421
Cantharellus atlanticus (Romagnesi) Eyssartier & P. Roux (2011), Le guide des champignons France et Europe, p. 588, 1083
Jaune pâle à blanchâtre.
Fruitée, Mirabelle
10 x 6 µm, jaune orangé, elliptiques.
En forêt sous feuillus ou conifères, terricole, dans les mousses.
Pousse en groupe, par nappe, mais pas en touffe.
Bon comestible
Bon p. 307 ; CD 111 ; Marchand 81 ; Eyssartier et Roux p. 14, 588, 590, 1103 ; BK 2 481
Cantharellus pallens est très similaire, à le chapeau pruineux au moins dans la jeunesse, possède une couleur d'hyménophore plus claire proche de la marge du chapeau et a des spores de 7,5–9,5 x 3,5–5,5 µm.
Cantharellus amethysteus possède en général des tons violets sur le chapeau, son revêtement est souvent écailleux et se tache fortement au frottement.
Hygrophoropsis aurantiaca, souvent confondu par les mycophiles peu expérimentés, a de vrais lames, possède des tons plus orangés, est plus grêle et est lié au bois de conifères.
Omphalotus illudens et Omphalotus olearius, tout deux très toxiques, poussent sur le bois, sont plus grands et sont plus thermophiles. Le premier est plus clair et monte plus haut dans les latitudes tandis que le second et plus méridional et est plus orangé.
Cantharellus cibarius var. nanus plus grêle, est teintée de rose sur le pied uniquement.
Cantharellus cibarius var. carneoalbus a le chapeau blanc crème au disque, l'hyménophore de couleur rosée et le stipe blanc.
Cantharellus cibarius var. salmoneus (?= Cantharellus subcarneus) a l'hyménophore de couleur rose.
Cantharellus cibarius var. squamulosus possède des squames brunes sur le chapeau.
Cantharellus cibarius var. umbrinus a le chapeau teinté de brun châtain.
Cantharellus cibarius var. rufipes qui est roussissant.
Cantharellus cibarius var. albidus a le chapeau blanchâtre et l'hyménophore discolore plus pâle.
Cantharellus cibarius var. atlanticus, possède une couleur plus vive et une pruine blanche sur le chapeau.
Cantharellus cibarius var. bicolor, possède un chapeau et un pied blanc, l'hyménophore jaune (champignon bicolore) et pousse sous les chênes thermophiles.
Cantharellus cibarius var. flavipes, comme la précédente mais poussant sous noisetiers.
Attention aux confusions !. Espèce très variable.
* ATTENTION : Les notions de comestibilité sont "à titre indicatif". En aucun cas vous ne pouvez consommer des champignons en basant votre détermination sur la fiche. Ceci peut être dangereux, c'est pourquoi vous devez consulter votre pharmacien ou un spécialiste avant toute consommation de champignon. Les auteurs et contributeurs de MycoDB se dégagent de toute responsabilité quant à l'éventuelle intoxication due à une erreur de détermination d'un champignon.