Exidia thuretiana(Léveillé) Fries (1874) |
Basidiomycota / Agaricomycetes / Auriculariales / Auriculariaceae
Tremella albida Hudson (1778), Flora Anglica, Edn 2, p. 565
Gyraria albida (Hudson) Gray (1821), A natural arrangement of British plants, 1, p. 593
Tremella thuretiana Léveillé (1848), Annales des sciences naturelles, botanique, série 3, 9, p. 127 (Basionyme)
Exidia thuretiana (Léveillé) Fries (1874), Hymenomycetes europaei sive epicriseos systematis mycologici, p. 694 (nom actuel)
Exidia albida (Hudson) Brefeldt (1888), Untersuchungen aus dem gesammtgebiete der mykologie, 7, p. 94, tab. 5, fig. 14
Gélatineuse, coriace. Odeur et saveur indistinctes.
Cylindriques arquées, + ou - allantoïdes, lisses, hyalines, parfois à contenu granuleux, blanches en masse ( légèrement teintées de gris opalin ), 12-15-24 x 4,5-6-7 µm. Hypobasides piriformes, ovales, cloisonnées longitudinalement, 14-18-23 x 4,5-6-7 µm, avec 2-4 épibasides longues. Hyphes larges, flexueuses, à parois peu nettes, boucles rares.
Sur branches tombées ou tenant à l'arbre, cortiquées ou non, à la face inf. ou sup. de divers feuillus, Fagus, plus rarement Fraxinus, Querçus, Crataegus, Ilex, Rhammus frangula, Juglans, mais venant sur tous bois à feuilles.
Sans intérêt
BK 2 24 . BG p. 32-33 n° 48 ; Bon p. 324 ; CD p. 176 ; Cetto 4 p. 569
Pas de noyaux. Peu lignivore. Toute l'année, surtout en arrière saison. Répandu.
Remarque : Des fructifications semblables sont formées par diverses espèces du genre Tremella qui ont, par contre, des spores rondes à ovales ; par exemple, l'espèce blanche T. albida, a des spores ovales et devrait s'appeler T. candida.