Hydnoporia corrugata(Fries) K.H. Larsson & Spirin (2019) |
Basidiomycota / Agaricomycetes / Hymenochaetales / Hymenochaetaceae
Thelephora corrugata Fries (1815), Observationes mycologicae praecipue ad illustrandam floram suecicam, 1, p. 154 (Basionyme) Sanctionnement : Fries (1821)
Thelephora padi Persoon (1822), Mycologia europaea, seu complet omnium fungorum in variis europaeae regionibus detectorum enumeratio, 1, p. 142
Corticium corrugatum (Fries) Fries (1838) [1836-38], Epicrisis systematis mycologici, p. 565
Hymenochaete corrugata (Fries) Léveillé (1846), Annales des sciences naturelles, botanique, série 3, 5, p. 152
Hymenochaete insularis Berkeley (1873), Grevillea, 1(11), p. 165
Stereum corrugatum (Fries) Quélet (1873), Mémoires de la Société d'Emulation de Montbéliard, série 2, 5, p. 359(349)
Hymenochaete agglutinans Ellis (1874), Bulletin of the Torrey botanical Club, 5(11), p. 46
Hymenochaete ambiens Berkeley & M.A. Curtis (1880), in Cooke, Grevillea, 8(48), p. 147
Xerocarpus corrugatus (Fries) P. Karsten (1882), Bidrag till kännedom af Finlands natur och folk, 37, p. 138
Hymenochaete croceoferruginea Massee (1890) [1891], The journal of the linnean Society, botany, 27(181), p. 110
Stereum croceoferrugineum (Massee) Laplanche (1894), Dictionnaire iconographique des champignons supérieurs (Hyménomycètes) qui croissent en Europe, Algérie & Tunisie, p. 316
Hymenochaete corrugata var. conglutinans Bourdot & Galzin (1928) [1927], Hyménomycètes de France. Hétérobasidiés- Homobasidiés Gymnocarpes, p. 393
Pseudochaete corrugata (Fries) S.H. He & Y.C. Dai (2012), Fungal diversity (Hong Kong), 56(1), p. 89
Hymenochaetopsis corrugata (Fries) S.H. He & Jiao Yang (2016), Mycological progress, 15(2/13), p. 4
Hydnoporia corrugata (Fries) K.H. Larsson & Spirin (2019), Fungal systematics and evolution (FUSE), 4, p. 88 (nom actuel)
Consistance dure, cassante.
Cylindriques-elliptiques, un peu arquées vers l'apicule, lisses, hyalines, 4,5-6 x 1,8-2,3 µm. I-. Basides étroitement clavées, tétrasporiques,non bouclées. Pas de cystide. Soies 40-70 x 6-10 µm, à parois épaisses, brun-foncé, sommet arrondi plus clair et finement incrusté. Monomitique : Hyphes densément entrechevêtrées, peu visibles, à parois minces ou épaisses, hyalines ou brunâtres, larges, cloisonnées, non bouclées.
Sur branches pendantes ou tombées, sur troncs, sur bois mort de Corylus, mais également de Quercus, Fagus, Populus, Prunus, Ulmus, Betula, Crataegus, Calluna, Rubus.
Pourriture blanche massive sur Corylus.
Toute l'année. Pas rare ou peu fréquent à certains endroits, de préférence aux endroits abrités.
Sans intérêt
BK 2 293 ; Jülich 2 p. 266 ; BG p. 392 n° 624
Peut faire penser à une espèce du genre Peniophora.
Champignon de très longue durée, à action lente, mais finissant par produire des lésions très étendues.