Multiclavula mucida(Persoon) R.H. Petersen (1967) |
Clavaire muqueuse |
Basidiomycota / Agaricomycetes / Cantharellales / Hydnaceae
Clavaria mucida Persoon (1797), Commentatio de fungis clavaeformibus, p. 55, tab. 2, fig. 3 (Basionyme) Sanctionnement : Fries (1821)
Clavaria pallida Schumacher (1803), Enumeratio plantarum in partibus Saellandiae septentrionalis et orientalis, 2, p. 406 (nom. illegit.)
Typhula mucida (Persoon) Fries (1827) [1825-26], Stirpes agri femsionensis, 4, p. 67
Clavaria mucida var. curtisii Berkeley (1873), Grevillea, 2(14), p. 17
Clavaria filipes var. curtisii (Berkeley) Saccardo (1888), Sylloge fungorum omnium hucusque cognitorum, 6, p. 726
Pistillaria mucida (Persoon) Costantin & L.M. Dufour (1891), Nouvelle flore des champignons, Edn 1, p. 177
Ceratella mucida (Persoon) Bigeard & H. Guillemin (1913), Flore des champignons supérieurs de France, 2, p. 442
Clavaria alba Lloyd (1922), Mycological writings, 7, mycological notes n° 67, p. 1153, fig. 2246
Lentaria mucida (Persoon) Corner (1950), A monograph of Clavaria and allied genera: Annals of botany memoirs, 1, p. 442
Multiclavula mucida (Persoon) R.H. Petersen (1967), The American midland naturalist, 77, p. 212 (nom actuel)
Stichoclavaria mucida (Persoon) Paechnatz (1987), in Kreisel, Pilzflora der deutschen demokratischen republik, Basidiomycetes, p. 229 (nom. inval.)
Les fructifications, fusiformes de 0.5 à 2 cm de haut et d’environ 1 mm d’épaisseur, sont simples ou ramifiées vers le haut du stipe pour certaines (2 à 6 branches). La surface est lisse et blanche. Les 2/3 supérieurs fertiles sont prolongés par des extrémités pointues blanchâtres dans la jeunesse puis jaunâtres à ocracées brunâtre avec l’âge. La partie inférieure stérile et rétrécie à la base et reste pâle à blanchâtre. Un discret feutrage mycélien blanc rayonne autour de cette base sur 0.5cm.
de consistance céracée et molle, odeur et saveur douces.
4,5-7.5 x 2-3 µm, cylindriques-elliptiques lisses et hyalines.
Basides cylindriques clavées 15-21 x 4-5 µm bouclées à la base avec 4 à 6 stérigmates.
Sans intérêt
Jülich p. 597
Les nombreuses fructifications couvraient la surface et les cotés d'une vieille souche de pin imbue.
Elles étaient exclusivement localisées sur les zones couvertes d'algues, du genre Coccomyxa avec lesquelles cette espèce vit en symbiose.