Mycena acicula(Schaeffer) P. Kummer (1871) |
Mycène aiguille, Mycène rouge orange |
Basidiomycota / Agaricomycetes / Agaricales / Mycenaceae
Agaricus coccineus Scopoli (1772), Flora carniolica, Edn 2, 2, p. 436 (indisponible)
Agaricus acicula Schaeffer (1774), Fungorum qui in Bavaria et Palatinatu circa Ratisbonam, 4, p. 52, tab. 222 (Basionyme)
Agaricus miniatus Batsch (1783), Elenchus fungorum, p. 73
Agaricus setaceus Hoffmann (1789), Nomenclator fungorum, 1, p. 197
Agaricus scopolii Lasch (1829), Linnaea, Ein journal für die botanik, 4, p. 534 (nom. illegit.)
Agaricus phoeniceus V. Briganti (1848), De fungis regni neapolitani historia, 2, p. 38, tab. 15, fig. 1-2 (nom. illegit.)
Mycena acicula (Schaeffer) P. Kummer (1871), Der fürher in die pilzkunde, p. 109 (nom actuel)
Agaricus punicellus Fries (1874), Hymenomycetes europaei sive epicriseos systematis mycologici, p. 133
Agaricus punicans Britzelmayr (1885), Bericht des naturhistorischen vereins in Augsburg, 28, p. 147, fig. 283, 737
Mycena punicans (Britzelmayr) Saccardo (1887), Sylloge fungorum omnium hucusque cognitorum, 5, p. 254
Mycena punicella (Fries) Saccardo (1887), Sylloge fungorum omnium hucusque cognitorum, 5, p. 257
Mycena phoenicea Saccardo (1887), Sylloge fungorum omnium hucusque cognitorum, 5, p. 257
Hygrocybe acicula (Schaeffer) Fayod (1889), Annales des sciences naturelles, botanique, série 7, 9, p. 309
Mycena amabilissima ss. Murrill (1913), Mycologia, 5(5), tab. 92, fig. 8
Mycena acicula var. coccinea(Scopoli) Spegazzini (1921), Boletín de la Academia nacional de ciencias en Córdoba, 25, p. 2
Hemimycena acicula (Schaeffer) Singer (1943), Annales mycologici, edii in notitiam scientiae mycologicae universalis, 41(1-3), p. 123
Marasmiellus acicula (Schaeffer) Singer (1951) [1949], Lilloa, 22, p. 301
Trogia acicula (Schaeffer) Corner (1966), A monograph of Cantharelloid fungi: Annals of botany memoirs, 2, p. 194
Faible/Nulle
9-10,5 x 3-4 µm, fusi-larmiformes, non-amyloïdes.
Basides 15-25 x 5-8 µm. Cheilocystides 15-30 x 3-8 µm, fusiformes ou clavées à sublagéniformes. Pleurocystides rares, semblables. Trame inerte dans le Melzer. Revêtement piléique en cutis, à hyphes x 2-3,5 µm, portant de courtes excroissances, reposant sur une couche de cellules largement renflées. Hyphes de la surface du stipe rampantes, à digitation largement cylindracées, plus ou moins ramifiées ou difformes.
Espèce assez courante et largement distribuée de septembre à décembre, sur débris végétaux ou ligneux, surtout sous feuillus.
Sans intérêt
Bon p. 183 ; BK 3 312 ; CD 608 ; Courtecuisse Photo-Guide p. 692-693 ; Eyssartier et Roux p. 398
Rickenella fibula, dont les lames sont très décurrentes.
Mycena oregonensis a des couleurs plus constantes, des lames souvent bordées de jaune ou d'orangé pâle et des spores plus courtes et plus larges. Les cheilocystides de l'espèce américaine renferment, de plus, un pigment jaune et son stipe montre de véritables caulocystides.
Ressemble à Rickenella fibula, dont les lames sont très décurrentes.
Mycena oregonensis a des couleurs plus constantes, des lames souvent bordées de jaune ou d'orangé pâle et des spores plus courtes et plus larges. Les cheilocystides de l'espèce américaine renferment, de plus, un pigment jaune et son stipe montre de véritables caulocystides.