Mycena roseocandida(Peck) Saccardo (1887) |
Mycène rose candide (ヒメサクラタケ) |
Basidiomycota / Agaricomycetes / Agaricales / Mycenaceae
Agaricus roseocandidus Peck (1873), Bulletin of the Buffalo Society of natural sciences, 1, p. 47 (Basionyme)
Mycena roseocandida (Peck) Saccardo (1887), Sylloge fungorum omnium hucusque cognitorum, 5, p. 262 (nom actuel)
Prunulus roseocandidus (Peck) Murrill (1916), North American flora, 9(5), p. 323
Hemimycena roseocandida (Peck) Singer (1943), Annales mycologici, edii in notitiam scientiae mycologicae universalis, 41(1-3), p. 123
mince, fragile, concolore à la surface du chapeau, odeur imperceptible.
Inconnue
hyalines, ellipsoïdes, lisses, 6,5-9,5 x 4-5 µm, non amyloïdes; basides bisporiques, 28-35 x 6-7 µm; cheilocystides nombreuses, 37-65 x 8,5-11,5 µm, fusoïdes-ventrues, souvent à col allongé, pédicellées, hyalines, à cloisons minces; pleurocystides éparses, semblables au cheilocystides; toutes les hyphes sont bouclées.
En troupes sur le sol des bois de pins. Amérique du Nord, Japon. Pas commun.
Sans intérêt
NASM pl. 11 B ; IH1 183 ; Mem. Shiga Univ. Vol. 13 p. 52-53, fig. 4, 1963
Caractérisé par ses teintes pudibondes (de "fillette au teint de pétales de cerisier-sakura", selon le nom scientifique japonais) et la présence de cystides ventrues-fusoïdes, aussi bien sur les faces des lames que sur leurs arêtes.
Très proche de M. amabilissima (Peck) Sacc., également rose pâle, mais qui ne jaunit pas.
Les récoltes nipponnes ont des spores un peu plus grandes que dans la littérature nord-américaine, et les basides sont exclusivement bisporiques.