Peniophora pithya(Persoon) J. Eriksson (1950) |
Basidiomycota / Agaricomycetes / Russulales / Peniophoraceae
Thelephora pithya Persoon (1822), Mycologia europaea, seu complet omnium fungorum in variis europaeae regionibus detectorum enumeratio, 1, p. 146 (Basionyme)
Thelephora nigra pithya Secretan (1833), Mycographie Suisse, 3, p. 213 (nom. inval.)
Corticium plumbeum Fries (1874), Hymenomycetes europaei sive epicriseos systematis mycologici, p. 653
Terana plumbea (Fries) Kuntze (1891), Revisio generum plantarum, 2, p. 872
Kneiffia plumbea (Fries) Bresadola (1903), Annales mycologici, edii in notitiam scientiae mycologicae universalis, 1(2), p. 104
Peniophora plumbea (Fries) Bourdot & Galzin (1928) [1927], Hyménomycètes de France. Hétérobasidiés- Homobasidiés Gymnocarpes, p. 326
Peniophora pithya (Persoon) J. Eriksson (1950), Symbolae botanicae upsalienses, 10(5), p. 45 (nom actuel)
Consistance céracée et tenace à l'état frais, cassante et dure à l'état sec.
Cylindriques, faiblement allantoïdes, lisses, hyalines, parfois guttulées, 5,5-7 x 2,5-3µm, I-. Basides étroitement clavées, tétrasporiques, bouclées. Monomitique : Hyphes larges de 2-4,5µm, minces ou épaissies, hyalines ou brunes, cloisonnées, bouclées.
Sur bois mort de conifères, sur branches et troncs. ( in litt.), également sur bois d'oeuvre.
Sans intérêt
FE 12 p. 473 ; Jülich p. 202 ; BK 2 151
Cette espèce ressemble aux espèces du genre Amylostereum et Columnocystis.
Répandu. Ete-automne.