Basidiomycota / Agaricomycetes / Gomphales / Gomphaceae

Synonymes   

Clavaria abietina Persoon (1794), in Römer, Neues magazin für die botanik, 1, p. 117 (Basionyme) Sanctionnement : Fries (1821)
Merisma abietinum (Persoon) Sprengel (1827), Systema vegetabilium, Edn 16, 4(1), p. 495
Clavaria ochraceovirens Junghuhn (1830), Linnaea, Ein journal für die botanik, 5, p. 407, tab. 7, fig. 3
Clavaria abietina f. persooniiFries (1874), Hymenomycetes europaei sive epicriseos systematis mycologici, p. 671
Clavariella abietina (Persoon) P. Karsten (1881), Revue mycologique (Toulouse), 3(9), p. 21
Clavaria abietina var. virens Gillet (1884), Tableaux analytiques des Hyménomycètes de France (Alençon), p. 183
Ramaria abietina (Persoon) Quélet (1888), Flore mycologique de la France et des pays limitrophes, p. 467
Clavaria abietina subsp.* cyanescens Romell (1911), in Krok & Almquist, Svenska Flora, Edn 2, p. (?)
Clavaria virescens Gramberg (1921), Pilz- und Kräuterfreund, 5, p. 57
Ramaria virescens (Gramberg) B. Hennings (1927), Handbuch für pilzfreunde, p. 3
Clavaria cyanescens (Romell) S. Lundell (1932), in Krok & Almquist, Svenska Flora, Edn 5, 2, p. 286
Ramaria ochraceovirens (Junghuhn) Donk (1933), Mededeelingen van de Nederlandsche mycologische vereeniging, 22, p. 112
Ramaria ochrochlora Furrer-Ziogas & Schild (1971), Fungorum rariorum icones coloratae, 5, p. 17, pl. 37
Ramaria ochraceovirens var. parvispora K.S. Thind, Khurana & S.C. Kaushal (1984) [1983], Kavaka, 11, p. 33
Phaeoclavulina abietina (Persoon) Giachini (2011), Mycotaxon, 115, p. 189 (nom actuel)

Couleur : Blanc, Crème
Description :Fructification coralloïde naissant d'une base commune et formant une ou plusieurs branches ( in litt. jusqu'à 7 rameaux ) qui se divisent le plus souvent de manière dichotomique vers les extrémités, ou ramifiée plus densément, haute de 30 à 60 mm, large de 3 à 8 mm. Rameaux denses serrés, jaune clair, puis souci ou ocre olivacé, verdissant au froissement, un peu rugueux, les extrémités se terminant par 2-3-4 pointes jaunâtres un peu plus claires que les branches. Mycélium filamenteux, blanc.

Blanche à fibres longitudinales, coriace, faiblement amarescente, à odeur peu caractéristique.

Obovales virguliformes ou oblongues déprimées et atténuées à la base, souvent obliquement, finement verruqueuses, 7-10(-12) x (3)-4-5 µm, paille jaunâtre, ocre brunâtre en masse. Basides étroitement clavées, 40-55-(60) x 5-6,5-(8) µm, tétrasporiques et bouclées. Pas de cystide. Hyphes à paroi mince à plus ou moins épaisse, large de 2-3 µm, subparallèles, à boucles éparses parfois très grosses, les médianes 2-11 µm, les subhyméniales larges de 2-3 µm, à paroi mince, septées et bouclées.

Habitat : Sol, Bois
Description :Sur humus des bois de conifères, surtout Picea, de préférence aux étages montagnards.

Sans intérêt

Références bibliographiques

BK 2 458 ; CD 124 ; Jülich 2 p. 105 ; Cetto 2 n° 782 ; BG p. 99 n° 149 ; Funghi Clavarioidi 1 p. 518

Avec Phaeoclavulina flaccida ; celle-ci ne verdissant pas.

Isolé mais le plus souvent grégaire.
Assez commun ou peu fréquent suivant les endroits. Eté-automne (in litt. Septembre-Novembre ).