Phellinus lundelliiNiemelä (1972) |
Basidiomycota / Agaricomycetes / Hymenochaetales / Hymenochaetaceae
Phellinus lundellii Niemelä (1972), Annales botanica Fennica, 9(1), p. 51 (Basionyme) (nom actuel)
Ochroporus lundellii (Niemelä) Fiasson & Niemelä (1984), Karstenia, 24(1-2), p. 26
Trame rouille, subéreuse, tenace.
Largement elliptiques, lisses, hyalines, uniguttulées, probablement à parois épaissies, 5,5-6,5 x 4-5 µm. I-. Basides clavées, 10-13 x 5-7 µm, tétrasporiques, non bouclées. Pas de cystide. Soies brunes, à parois épaisses, subulées, ventrues, parfois arquées, 18-25 x 6-7 µm. Dimitique : (1)- Hyphes génératrices à parois épaisses, hyalines, larges de 2-4,5 µm, cloisonnées, non bouclées. (2)- Hyphes squelettiques brunes, à parois épaisses, larges de 2-4,5 µm, irrégulièrement enchevêtrées dans les dissépiments.
Sur bois mort de feuillus, en particulier Bétula, mais également sur Acer, Alnus, Cistus, Corylus, Erica, Fraxinus, Malus, Populus, Prunus, Pyrus, Salix et Sorbus.
Sans intérêt
BK 2 318 ; Jülich 2 289 ; Cetto 4 1594 ; E.P. 2 p. 497 fig. 253
Isolés ou confluents si superposés sur un support vertical. Pérenne. Rare. Tout au long de l'année.
Remarque : Pourriture blanche. Confusion possible avec P. igniarius et P. laevigatus.