Ramaria aurea(Schaeffer) Quélet (1888) |
Clavaire dorée |
Basidiomycota / Agaricomycetes / Gomphales / Gomphaceae
Clavaria aurea Schaeffer (1774), Fungorum qui in Bavaria et Palatinatu circa Ratisbonam, 4, p. 121, tab. 287 (Basionyme) Sanctionnement : Fries (1821)
Clavariella aurea (Schaeffer) P. Karsten (1881), Revue mycologique (Toulouse), 3(9), p. 21
Ramaria aurea (Schaeffer) Quélet (1888), Flore mycologique de la France et des pays limitrophes, p. 467 (nom actuel)
Ramifications en U ou en V. Tronc tuberculeux, blanc à la base, devenant jaune citron vers les ramifications, ne se tachant pas au toucher. Branches jaune d 'or, pointes concolores ou d'un jaune un peu plus intense.
Blanche,parfois marbrée, molle,ferme. Odeur non désagréable,saveur douce.
Elliptiques, finement verruqueuses, verrues partiellement reliées les unes aux autres et disposées en lignes, hyalines, sporée jaune, 9-11 x 3,5-5 µm. basides étroitement clavées, tétrasporiques, non bouclées. Hyphes à parois minces,larges, cloisonnées, non bouclées.
Sans intérêt
Bon p. 309 ; CD 131 ; BK 2 459 ; Marchand 1 p 170 ; Funghi Clavarioidi 2 p. 832
Rare. Eté-Automne.
PS: d'autres espèces dorées des pessières de montagne sont souvent nommées " auréa " Il ne s'agit, en fait que de Ramaria largentii.
Non revu en Anjou depuis 1970.