Ramaria gracilis(Persoon) Quélet (1888) |
Clavaire anisée, Ramaire gracile |
Basidiomycota / Agaricomycetes / Gomphales / Gomphaceae
Clavaria gracilis Persoon (1797), Commentatio de fungis clavaeformibus, p. 50, tab. 1, fig. 2 (Basionyme) Sanctionnement : Fries (1821)
Merisma gracile (Persoon) Sprengel (1827), Systema vegetabilium, Edn 16, 4(1), p. 496
Clavariella gracilis (Persoon) P. Karsten (1881), Revue mycologique (Toulouse), 3(9), p. 21
Clavaria byssiseda ss. Patouillard (1887), Tabulae analyticae fungorum, 6, p. 28, fig. 567
Ramaria gracilis (Persoon) Quélet (1888), Flore mycologique de la France et des pays limitrophes, p. 463 (nom actuel)
Clavaria fragrans Ellis & Everhart (1888), The North America fungi, n° 2023
Clavaria fragrantissima G.F. Atkinson (1908), Annales mycologici, edii in notitiam scientiae mycologicae universalis, 6(1), p. 57
Clavaria flavuloides Burt (1922), Annals of the Missouri botanical Garden, 9, p. 28
Branches larges de 1-3 mm, ocre-jaunâtre clair, puis pâle argileux, tirant sur incarnat, chamois ou alutacé. Le champignon mesure 30-60 x 20-50 mm dans sa totalité.
Elastique, succulente, tenace, odeur faiblement anisée, saveur légèrement amarescente.
Anis
Elliptiques, finement verruqueuses, ou aspérulées ruguleuses, hyalines, déprimées latéralement et obliquement atténuées à la base, 5-7-7,5 x 3-4 µm, crème paille, jaune de Naples en masse. Basides étroitement clavées, 24-36-45 x 4,5-6-7 µm, tétrasporiques, bouclées. Pas de cystide. Monomitique : Hyphes à parois minces, larges de 1,5-2,5 µm, enflées au niveau des cloisons jusqu'à 15 µm, cloisonnées, bouclées. Hyphes squelettiques à parois épaisses, larges de 2-3 µm dans le feutrage mycélien, plus des hyphes à parois minces fortement enflées.
Sans intérêt
CD 131 ; Cetto 5 p. 571 ; Jülich 2 p. 113 ; BK 2 476 ; BG p. 101 n° 153 Funghi Clavarioidi 2 p. 702
Assez rare. Rare. Eté-automne.
Remarque : Cette espèce à certaines ressemblances avec Ramaria stricta.