Ramaria pallida(Schaeffer) Ricken (1920) |
Clavaire pâle, Ramaire pâle |
Basidiomycota / Agaricomycetes / Gomphales / Gomphaceae
Clavaria pallida Schaeffer (1774), Fungorum qui in Bavaria et Palatinatu circa Ratisbonam, 4, p. 120, tab. 286 (Basionyme) Sanctionnement : Fries (1821)
Ramaria pallida (Schaeffer) Ricken (1920), Vademecum für pilzfreunde, Edn 2, p. 263 (nom actuel)
Ramaria mairei Donk (1933), Mededeelingen van de Nederlandsche mycologische vereeniging, 22, p. 106
Ramifications en forme de V ou en U étroit et souvent colorées de jaunâtre par la sporée. Branches devenant plus claires vers le haut, sommets blanchâtres et parfois teintés de lilas. Extrémités plus ou moins pointues.
Blanche, molle, cassante, ne changeant pas de couleur à manipulation. Odeur parfois de fenugrec ou insignifiante (in litt. de savon). Saveur douce à amarescente, un peu crayeuse en séchant.
Net et épais de 40 mm, duquel naissent plusieurs branches larges de 10-15 mm qui se divisent à leur tour, crème vers la base, ochracé pâle.
Elliptiques, aplaties sur une face, finement verruqueuses, verrues partiellement arrangées obliquement et reliées les unes aux autres, guttulées, hyalines, 9-12 x 4,5-5,5 µm, (Schild : 8,5-13,5 x 4,3-7,2 µm), cyanophiles. Sporée jaune. I-. Basides étroitement clavées, 50-60 x 8-10 µm, tétrasporiques, non bouclées. Cystides absentes. Monomitique : Hyphes larges de 2,5-15 µm, cloisonnées, non bouclées, partiellement étranglées au niveau des cloisons.
Sur terre, dans les forêts de feuillus et de conifères, surtout Picea et Abies.
Isolé ou en groupes. Répandu. Eté-Automne.
Toxique
Bon p. 308 ; CD 128 ; Marchand 1 78 ; BK 2 473 ; L.R.E. p. 123 ; Jülich 2 p. 108 ; Funghi Clavarioidi 2 p. 1044
Isolé ou en groupes. Répandu. Eté-Automne.