Russula ochroleucaPersoon (1796) |
Russule ocre et blanche |
Basidiomycota / Agaricomycetes / Russulales / Russulaceae
Agaricus georgii Bulliard (1791), Herbier de la France, 11, tab. 509, fig. 6 (nom. illegit.)
Russula ochroleuca Persoon (1796), Observationes mycologicae seu descriptiones tam novorum quam notabilium fungorum, 1, p. 102 (Basionyme) Sanctionnement : Fries (1821) (nom actuel)
Agaricus ochroleucus (Persoon) Persoon (1801), Synopsis methodica fungorum, p. 443 (nom. illegit.)
Agaricus pectinatus var. γ ochroleucus(Persoon) de Candolle (1805), Flore française ou description succincte de toutes les plantes qui croissent naturellement en France, Edn 3, 2, p. 139
Hypophyllum luteoalbumPaulet (1808) [1793], Traité des champignons, 2, p. 179, tab. 76, fig. 4
Agaricus ochroleucus russula Secretan (1833), Mycographie Suisse, 1, p. 519 (nom. inval)
Blanche.
Epicée, Faible/Nulle
7,5-10 x 6,5-8 µm, à verrues (0,8 µm) épineuses formant un réseau ± complet.
BK 6 171 ; CD 1500-436, 91 ; Cetto 646 ; Galli p. 167 ; Sarnari 861 ; Bon p. 79 ; Marchand 430 ; Eyssartier et Roux p. 224, 4eme édition 232
Russula claroflava, stipe grisonnant, sporée plus sombre et chair douce.
Russula fellea, chair brûlante, odeur forte de compote de pomme.
Sur sol humide, on trouve Russula claroflava, qui peut induire en erreur en raison de son stipe grisonnant, mais sa sporée est plus sombre et sa chair est douce.
Bien plus fréquente est Russula fellea, espèce à chair brûlante qui exhale une odeur forte de compote de pomme, entre autres.