Russula omiensisHongo (1967) |
Russule d'Ōmi, Russule violette âcre (カラムラサキハツ) |
Basidiomycota / Agaricomycetes / Russulales / Russulaceae
Russule sise dans la commune de Ōmi, aujourd'hui rattachée à la ville de Maibara (département de Shiga)
Russula omiensis Hongo (1967), Memoirs of the Faculty of liberal arts and education, Shiga University natural science, 17, p. 93 (Basionyme)
Faible/Nulle
Spores ovoïdes, plus grandes et plus arrondies que knauthii,10,5-12 x 9,5-11 µm,10,5-12 x 9,5-11 µm, ornées de verrues épineuses plus grosses reliées en réseau moins régulier, plus lâche et à mailles plus entourées, avec des membranes très minces reliant les spinules.Tache supra-appendiculaire remplacée par une fine résille. Manque d'amyloïdité variable.
PC cylindracées en très grand nombre, largement multi-cloisonnées, des clavulées moins fréquentes.
IH1 607
Très précoce, nous l'avons longtemps surnommée la russule du 1er avril.
Ressemble à R. fragilis, avec une microscopie proche de R. knauthii selon Dagron (1990), ou de la f. fallax, selon Marcel Bon en 1998, mais le chapeau est pruineux, la spore plus grande, et la fructification printanière, puis quasi-hivernale la distingue.