Scleroderma meridionaleDemoulin & Malençon (1971) [1970] |
Scleroderme meridional |
Basidiomycota / Agaricomycetes / Boletales / Sclerodermaceae
Scleroderma meridionale Demoulin & Malençon (1971) [1970], Bulletin de la Société mycologique de France, 86(4), p. 699 (Basionyme)
(8,7)-10,3-14,4-(16,6) µm, ornementation exclue-, rondes, avec des aiguillons de 1,2-1,8 µm de haut, reliés par des crêtes bien réticulées. Péridium constitué d'hyphes x 2-6-(10) µm, bouclées, assez peu gélifiées, celles des parties au contact de l'air imprégnées d'un pigment jaune très saturé, celles des parties profondes privées de contenu coloré.
Désagréable
Dans les lieux secs, surtout aréneux des régions chaudes, proches du littoral de l'Europe méridionale et de l'Afrique du Nord, le plus souvent sous Quercus ilex et suber, également Buxus et autres chênes sclérophylles.
Sans intérêt
Sarasini 324 ; Marchand 4 352 ; Guinberteau p. 91 ; E&R 4eme édition p 1080
Isolé ou grégaire. Assez fréquent. Eté-Automne.
Remarque : Pourrait se confondre avec S. citrinum et S. bovista, voire même ( sous certains aspects à S. cepa ).
Souvent associé à Pisolithus arhizus, Astraeus hygrométricus, et Scleroderma polyrhizum.