Sistotrema coroniferum(Höhnel & Litschauer) Donk (1956) |
Basidiomycota / Agaricomycetes / Cantharellales / Hydnaceae
Gloeocystidium coroniferum Höhnel & Litschauer (1907), Sitzungsberichte der kaiserlichen Akademie der Wissenschaften, mathematisch-naturwissenschaftliche klasse, Abt. 1, 116, p. 825 (Basionyme)
Corticium coroniferum (Höhnel & Litschauer) Saccardo & Trotter (1912), Sylloge fungorum omnium hucusque cognitorum, 21, p. 402
Trechispora coronifera (Höhnel & Litschauer) D.P. Rogers & H.S. Jackson (1943), Farlowia, 1(2), p. 282
Sistotrema coroniferum (Höhnel & Litschauer) Donk (1956), Fungus, Officieel orgaan van de nederlandsche mycologische vereniging, 26(1-4), p. 4 (nom actuel)
Chair très mince. Consistance membraneuse pulvérulente, molle.
Spores elliptiques à faiblement allantoïdes, lisses, hyalines, à paroi mince, (4,5)-5-6-(7) x (2)-2,5-3 μm.
Basides urniformes, bouclées, 15-20 x 4-5 µm, le plus souvent à 6-7-8 stérigmates, rarement 4.
Cystides de type gloéocystides, 60-100 x 6-10 µm, incluses ou peu émergentes, flexueuses souvent avec des constrictions et à sommet arrondi. Contenu cytoplasmique plutôt d'aspect huileux, hyalin quelquefois jaunâtre.
Ces cystides sont difficiles à mettre en évidence car plutôt rares et réparties irrégulièrement dans l'hyménium.
Hyphes bouclées, les subhyméniales très ramifiées, à paroi mince, larges de 3-4 µm, les basales plus rectilignes et à paroi légèrement épaissie, larges de 4-6 µm.
Sur bois mort décortiqué surtout de feuillus mais aussi sur conifères essentiellement Picea. Tout au long de l'année. Peu fréquent.
Sans intérêt
FE 12 p. 604 ; ER vol. 7 p. 1329 ; BK 2 n° 190 p. 176.