Stropharia coronilla(Bulliard) Quélet (1872) |
Strophaire coronille, Strophaire à petite couronne |
Basidiomycota / Agaricomycetes / Agaricales / Strophariaceae
Agaricus coronilla Bulliard (1793), Herbier de la France, 13, tab. 597, fig. 1 (Basionyme) Sanctionnement : Fries (1821)
Hypophyllum pseudoglobosum Paulet (1808) [1793-1829], Traité des champignons, 2, tab. 104, fig. 6 bis
Agaricus obturatus Fries (1821), Systema mycologicum, 1, p. 283
Stropharia coronilla (Bulliard) Quélet (1872), Mémoires de la Société d'Emulation de Montbéliard, série 2, 5, p. 255(237), tab. 14, fig. 7 (nom actuel)
Stropharia obturata (Fries) Quélet (1872), Mémoires de la Société d'Emulation de Montbéliard, série 2, 5, p. 142(110), tab. 14, fig. 7
Geophila coronilla (Bulliard) Quélet (1886), Enchiridion fungorum in Europa media et praesertim in Gallia vigentium, p. 111
Psalliota obturata (Fries) Hennings (1898), in Engler & Prantl, Die natürlichen pflanzenfamilien, 1(1**), p. 238
Psalliota coronilla (Bulliard) Hennings (1898), in Engler & Prantl, Die natürlichen pflanzenfamilien, 1(1**), p. 238
Fungus obturatus (Fries) Kuntze (1898), Revisio generum plantarum, 3, p. 480
Fungus coronillus (Bulliard) Kuntze (1898), Revisio generum plantarum, 3, p. 479
Psilocybe coronilla (Bulliard) Noordeloos (1995), Persoonia, 16(1), p. 128
Chair blanche. Saveur douce. Odeur faible.
Spores elliptiques, lisses, brun jaune, à paroi épaisse à pore germinatif réduit, 7-9 x 4,5-6 µm. Sporée brun pourpre.
Basides cylindriques, tétrasporiques, non bouclées.
Cheilocystides à structure de chrysocystides, 25-35 x 8-12 µm. Pleurocystides semblables 33-40 x 10-13 µm.
Hyphes couchées, enchevêtrées, bouclées, larges de 4-7 µm avec des extrémités pigmentées de jaune pâle
Dans l'herbe des lisières, les mousses. Egalement dans les pelouses des parcs. Peu fréquent.
Toxique
Bon p. 251 ; CD 1272 ; ER éd. 4 p. 846 ; LP p. 590.
Le Monde Secret des Champignons (Editions Atlas) : Strophaire coronille
Guide Ecologique des Champignons - Région Périgord Quercy - Editions Bacofin - Août 2008 p. 52 ; Eyssartier et Roux p. 818
Odeur raphanoïde forte.
La toxicité de ce champignon est mal connue. Toutefois, deux personnes auraient été intoxiquées après l'avoir consommé. Elles ont souffert de crampes abdominales, de diarrhées, de troubles nerveux et de douleurs osseuses dans le dos et les jambes. Une bonne précaution est de le considérer comme toxique