Vibrissea flavovirens(Persoon) Korf & J.R. Dixon (1974) |
Ascomycota / Leotiomycetes / Helotiales / Vibrisseaceae
Peziza flavovirens Persoon (1822), Mycologia europaea, seu complet omnium fungorum in variis europaeae regionibus detectorum enumeratio, 1, p. 323 (Basionyme) Sanctionnement : Fries (1822)
Helotium flavovirens (Persoon) Fries (1849), Summa vegetabilium Scandinaviae, 2, p. 355
Vibrissea pezizoides Libert (1880), in Cooke, Grevillea, 8(47), p. 84
Coryne flavovirens (Persoon) Rehm (1891), Rabenhorst's kryptogamen-flora von Deutschland, Oesterreich und der Schweiz, Zweite Auflage, Pilze, 1(3), p. 488
Calycina flavovirens (Persoon) Kuntze (1898), Revisio generum plantarum, 3, p. 448
Pachydisca flavovirens (Persoon) Boudier (1907), Histoire et classification des discomycètes d'Europe, p. 93
Apostemidium torrenticola Graddon (1965), Transactions of the British mycological Society, 48(4), p. 643
Vibrissea flavovirens (Persoon) Korf & J.R. Dixon (1974), Mycotaxon, 1(2), p. 134 (nom actuel)
Réceptacle très brièvement stipité, un peu concave au début, plan, puis convexe, large de 2-2,5, jusqu'à 3 mm de diamètre. Hyménium variable du gris au jaunâtre ou jaunâtre verdoyant, roussâtre à brun noirâtre par le sec.
Molle, céracée.
Très court et épais, gris à noirâtre.
Ascospores hyalines, filiformes, 160-190 µm, de long. Asques partiellement remplis, 245-260-(300) x 6µm.
Sur bois pourri dans les endroits humides,( voir remarques et récoltes).
Sans intérêt
Ellis p. 215 ; Gr. p. 306 n° 486
Grégaire. Rare. Eté ( Mai-Juin ).
Remarques : Espèce des ruisseaux frais et rapides, sur bois mort décortiqué très dur, trempant dans l'eau en permanence.
Les spores, très longs fils, sont plus facilement libérées dans l'eau que dans l'air. Hors de l'eau, elles restent collées sur l'hyménium comme un feutrage blanc.